En détail, voici quelques compléments et précisions apportés par l'IA ...
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Le monde change a très grande vitesse, vous avez remarqué ? et le rythme s'accélère. Le fossé social se creuse entre les plus riches et les autres, entre ceux qui ont des compétences très demandées sur le marché du travail, et ceux dont le travail est précarisé, voir même remplacé.
Les plus grandes multinationales concentrent de plus en plus l'activité, plus de la moitié de la richesse produite en France (hors agriculture et finance) provient de ces multinationales, qu’elles soient sous contrôle français ou étranger. Cela montre leur poids considérable dans le PIB français. : Depuis les années 1990, la part des multinationales dans la valeur ajoutée a régulièrement augmenté, reflétant la mondialisation et la concentration des activités économiques dans les grands groupes.
Notre modèle fiscal et le carburant de notre modèle social, et nous sommes très attaché à notre modèle social, il fait notre spécificité et notre force collective. il est généreux, comme notre devise nationale, qui consacre la fraternité
En France, la part des prélèvements obligatoires (impôts, taxes et cotisations sociales) rapportée au produit intérieur brut (PIB) pour 2025 est évaluée à 43,6 % du PIB (source senat.fr). En comparaison, la moyenne de l’Union européenne se situe autour de 40 % du PIB. On entend dire que c'est beaucoup trop, mais non, c'est la France! par contre, nous devons veiller à ce qu'il n'augmente pas davantage.
Il serait absurde de ne pas vouloir changer notre modèle fiscal dans ces conditions. Et ces changements ne doivent pas être à la marge, paramétrique, il est nécessaire de réfléchir à une refonte en profondeur, pour péréniser notre modèle social, nous adpater aux changements profonds du marché du travail, et maintenir à tout prix l'équilibre budgétaire
Il est donc nécessaire de créer de nouveaux impots pour compenser la baisse des charges qui pèsent sur le travail. Mais ces nouveaux impots n'ont pas pour objectif de combler nos déficits, comme on entend souvent. Pour combler nos déficits, nous devons être plus productifs, et gagner en efficacité de la dépense publique. Ces nouveaux impots ne feront pas fuire les plus riches et entreprenants parmi nous, a condition qu'ils soient intelligents, incitatifs, justes et que par ailleurs la France redevienne attractive.
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