En détail, voici quelques compléments et précisions apportés par l'IA ...
Bla bla bla
Le débat s’est concentré et radicalisé sur le principe de la taxe Zukman. Cette dernière, ciblant chaque 2% du patrimoine des ultra-riches est à la fois confiscatoire, démoralisante pour les entrepreneurs, mais, reconnaissons-le, très productive ! Avec une première estimation de 20 milliards, en effet, quelle manne !
Disons-le tout de suite, c’est complètement improductif sur le long terme, et anticonstitutionnel. Il est dommage d’avoir perdu autant de temps à débattre et se déchirer sur un problème mal posé.
Pour autant, compte tenu du fossé qui se creuse irrémédiablement entre les plus fortunés et le reste de la population, et compte tenu surtout du fait, démontré, que les plus fortunés mettent en place des stratégies d’optimisation fiscale pour payer moins d’impôts en proportion, il semble nécessaire de remettre en place un impôt sur la fortune (ISF) modernisé.
Celui-ci ciblerait uniquement le patrimoine non productif et inclurai un mécanisme incitatif pour réinvestir dans l’économie française. Ce mécanisme incitatif pourrait prendre la forme d’un crédit d’impôt ISF, proportionnel au patrimoine non productif, réinvestit au cours de l’année dans l’économie Française.
Ainsi, les plus riches et plus entreprenants d’entre-nous se verraient reconnus fiscalement, dés lors que leur fortune serait mise à profit de notre économie. Dans un cas extrême, un milliardaire pourrait avoir un ISF de 0 s’il réinvestit beaucoup, année après année, dans l’économie Française. Il en serait ainsi félicité et remercié.
Un ISF, ainsi modernisé, se transformerait en levier de croissance. Il ne rapporterait évidemment plus 20 milliards. Beaucoup moins ! et ce serait tant mieux, au bénéfice de notre relance économique. Car il est complètement illusoire de vouloir combler un gouffre budgétaire par l’ISF. C’est une idée à la fois audacieuse, symbolique et potentiellement incitative. Elle s’inscrit dans une logique de justice fiscale tout en évitant les écueils traditionnels (fuite des capitaux, frein à l’investissement). Elle est également symbolique : Rétablir un ISF enverrait un signal clair : La richesse doit contribuer à la collectivité, si elle ne crée pas d’emplois.
Enfin, cette réforme a le mérite de dépasser les clivages. Elle pourrait séduire.
Elle pourrait s’accompagner d’autres réformes incitatives, permettant de dissuader les plus fortunés de recourir à l’optimisation fiscale ou à payer le juste prix d’un exil fiscal.
Bla bla bla